REVUE DE PRESSE


« L’autre Grande Dame du Cap-Vert, Herminia, dont la voix rude, déchirante, contraste de manière saisissante avec la suavité de Cesaria. (15/05/2006)…  Elle a commencé sa carrière comme chanteuses ambulante au Cap-Vert, cultivant pendant des années la tradition populaire la plus pure de la  morna. C’est cette expérience humble et fascinante qui rend son chant aussi authentique aujourd’hui. »   NOUVEL OBSERVATEUR (31/10/07, Bernard Loupias)

«La gouailleuse cousine de Cesaria Evora resurgit du passé, elle aussi dans un répertoire de mornas capverdiennes languissantes.»         TÉLÉRAMA (31/10/07, Eliane Azoulay)

« On connaît peu Herminia en dehors de son Cap-Vert natal, pourtant, elle ne fait pas partie de cette jeune vague féminine qui pousse derrière Mayra Andrade, Lura ou Sara Tavares. Elle est leur aînée, de la génération Cesaria Evora. Aussi frêle que Cesaria est imposante, Herminia fait de cette fragilité une arme de charme, voire de puissance. Une émotion indicible s'installe dès ses premières notes. »      NOVA (15/10/2007, Rémy Kolpa Kopul)

 « Le visage marqué, le timbre éraflé, Herminia est la cousine de Cesaria Evora… Elle chante des mornas, des blues insulaires poignants et éternellement inconsolables… La voix farouche, Herminia fait passer des larmes de mélancolie infinie, mais sait aussi enjouer aussi son auditoire avec des coladeiras enlevées. »       WORLD (10/10/2007, Bouziane Daoudi)

« Herminia, qui semble si frêle, si fragile,  se transforme en médium ou shaman féminin dés qu’elle se met à chanter, communiquant des émotions, souffrances et espoirs enfouis au fond de chacun, qu’elle incarne et transmet à fleur de peau. Un concert à sensations !  »       ETHNOTEMPOS (Revue sur les Musiques ethniques d’aujourd’hui, mai 2007)


« Considered en atlantic version of Edith Piaf, on a par with her fellow-countrywoman Cesaria Evora, Herminia has yet to enjoy the international notoriety of the bare-foot diva from Cape Verde. Yet her distinct and kitten-like voice has shone through much of 64 years of existence. Fortunately, Herminia returned to the fore of the world music scene in 2006 with the release of Do Sal                        (MONDOMIX, World Music, may  2007)

« Herminia est souvent citée comme l’autre diva du Cap-Vert, en référence à sa cousine Cesaria Evora. et des coladeiras à l’ancienne… avec ce timbre faubourien qui lui attire une autre comparaison flatteuse, l’Edith Piaf du Cap-Vert.. Son premier album, Coraçon Leve, allait l’installer dans le cœur du petit peuple capverdien, dans la légende… »                                                LIBERATION (25/05/2006, Bouziane Daoudi)

« Née en 1942, Herminia chante depuis aussi longtemps que Césaria Evora. Comme la star du Cap-Vert, elle également fréquenté les bars de Mindelo lorsque son compatriote Vasco Martins, compositeur de symphonies, l’a persuadée d’enregistrer ses chansons, des mornas qu’il a voulues mélancoliques ou joyeuses… Herminia les chante avec une voix farouche, écorchée, une voix dans laquelle pointent des accents populaires et des odeurs de terre aride qui donnent à ce disque un caractère original. »       Le MONDE (24/10/1998, Patrick Labesse)

« L’apparition de cette chanteuse du Cap-Vert est une belle surprise, d’autant que, née en 1942, elle est de la même génération que la reine Cesaria Evora. Les deux chanteuses sont d’ailleurs cousines, mais la vie pour Herminia a été plus dure, plus incertaine. A découvrir ! »     LE FIGARO (31/10/2006, Jean Luc Wachthausen)

« Le concert d’Herminia (au Festival Val Latina) était exceptionnel…Elle a séduit son public dés les premières mesures. L’assistance s’est laissée emporter par la présence extraordinaire de cette artiste bouleversante. Le concert fut chargé d’émotions et ponctué de salves d’applaudissements… »
LE TELEGRAMME (20/05/2007)


 
« Un sacré petit bout de femme (...) Elle pose sur vous un regard désinvolte, désarçonnant. »
OUEST FRANCE, (Yann Armel Huet, 27/05/2007)

« Le salon des gouverneurs (salle de spectacle de Trouville) affichait complet... Herminia a fait un rentrée très appréciée, après cinq ans de silence. Herminia est à l’opposé de Cesaria Evora. Samedi soir, elle a chanté des mornas, musique typique mélancolique, chantée avec un accompagnement de violons et de guitares. Herminia a montré toute la sensualité de la personnalité de Vasco Martins (le compositeur)... C’est un message de paix et d’amour.»                             Le PAYS d’AUGE
, (30/05/2006)

« On ressent la voix d’Herminia comme une plainte qui transperce les cœurs pour se figer au plus profond de l’âme. Le timbre singulier de sa voix donne un souffle nouveau aux grands airs de la tradition capverdienne, qu’elle reprend avec une émotion étonnante… »                                 SATELLIT CAFE,  (10/05/2007)

 « Herminia, ce petit bout de femme frêle et si touchante, est reconnue comme l'autre grande chanteuse traditionnelle du Cap-Vert, avec Cesaria Evora  sa cousine, dont elle est le pendant plus roots. Elle charme, elle bouleverse par le timbre singulier de sa voix naturelle et poignante qui donne un souffle nouveau à la musique capverdienne. »                               (EVENE, 15/10/2007)

« Herminia, l'autre grande dame du Cap-Vert (...) se fait l'écho d'une musique capverdienne plus proche de ses racines, avec un swing incroyable et une grande intensité. »       (Coup de cœur de la FNAC, 3/10/2007)

« Coraçaon Leve  est un chef d’œuvre, une rencontre saisissante, inoubliable. »   (MINDELO INFO, 02/05/2006)

« Elle est fragile, chante avec l’émotion naturelle des amoureux du bonheur résistant par principe aux intempéries des temps présents ; Herminia, on voudrait la serrer dans ses bras, la câliner… l’extraordinaire suavité humaine d’un petit bout de femme du Cap-Vert qui pourrait être ma mère, mon aïeule, et surtout dans tous les cas ma sœur. Il est des moments où les déclarations s’imposent »       (L’OUTIL, AUX ARTS, Auguste Fradin, mai 2006)