|
"à la vache Papillon" Là-bas, les vaches n’ont pas de clarines au cou, elles ont des noms poétiques. Là-bas, le chant et la musique accompagnent la vie des paysans au travail et dans tous les gestes les plus simples du quotidien... Là bas, les femmes et les hommes exhalent l'art comme le parfum du monde de ceux d’en bas . Là-bas, c’est le Venezuela. Ce dessein intense de témoigner d'un ailleurs quasiment ignoré sous nos latitudes est dû à la volonté et la virtuosité d’un trio composé d’Emm Saby, au chant allègre et profond, à la clarinette, au cuatro et maracas, du maestro Cristóbal Soto à la mandoline, harpe, cuatro et tambora, et de Marius Pibarot, à la contrebasse, violon, mandoline et cuatro. Jouant du joropo, de la tonada, du merengue et interprétant les cantos de trabajo, de ordeño, chants de travail paysans... ces trois musiciens transmettent toutes les couleurs et la beauté de cette musique vivante, symbole à la fois de joie et de romantisme. A la vaca Mariposa est né du désir et du plaisir de chanter, partager et faire connaître la musique populaire vénézuélienne, musique vivante en perpétuelle évolution. Élégante, fine et virtuose, elle est tout aussi foisonnante et savoureuse que ses voisines brésiliennes, cubaines ou argentines et demeure encore très méconnue en Europe. “La musique vénézuélienne, c’est un balancement particulier, un penchant pour les jeux rythmiques. C’est aussi une richesse mélodique incomparable pour exprimer la vie.” Guillermo de la roca | |
 | |
 | |
 |
|
La musique du Venezuela est influencée par les origines Amérindiennes, Africaine et Hispanique. Si la culture autochtone est aujourd'hui présente dans la musique à travers certains instruments, entre autres le cameo, un tambour, et le batuto, une sorte de trompette, la culture hispanique a permis l'introduction de nombreux genres populaires, dont le galerón, le corrido et la guaracha.
Sans omettre les origines rythmiques Afro-Antillais qui sont aujourd’hui dans le cœur des Vénézuéliens. Le merengue, la cumbia et la salsa font danser et vibrer jeunes et moins jeunes dans l'ensemble du pays. Pour preuve, ces rythmes endiablés se sont frayé un chemin jusqu'au Venezuela, influençant les plus grands artistes contemporains du pays. | |
 |
|
|
En marge de cette vague de modernité A la vaca Mariposa est né du désir et du plaisir de chanter, partager et faire connaître la musique populaire vénézuélienne, musique vivante en perpétuelle évolution. Élégante, fine et virtuose, elle est tout aussi foisonnante et savoureuse que ses voisines brésiliennes, cubaines ou argentines et demeure encore très méconnue en Europe. |