* Gramophone Stomp - 2 juillet 20h au jardin du temple Montaren & St Médiers
entrée gratuite

Audrey Leclair : une voix délicieusement démodée

Au delà du «vintage», cette voix authentique et inimitable nous propose un véritable voyage dans le temps.

De même, les musiciens de gramophone stomp s’appliquent à reproduire la manière singulière de faire sonner cet ensemble d’instruments acoustiques qui faisait le grain des enregistrements d’époque... Une orchestration de jazz à la française où l’on ne peut vous cacher une passion commune pour Django Reinhardt, celui des premières heures, celui pour qui la musique était avant tout vivante, populaire et partagée.

STOMP, un swing qui rebondit

Malgré leurs aspirations virtuoses et solistiques, les membres de Gramophone Stomp sont les fervents défenseurs d’une musique de groupe, enthousiaste et rythmée.

Les échanges étincelants entre les musiciens sur scène donnent vie aux arrangements. Le public est invité à partager ces instants de complicité, et à se souvenir que le Paris des années 30 était celui des «années folles» !

Une musique en perpétuelle évolution

Étudiants du conservatoire de Jazz et musiciens professionels, les membres de Gramophone Stomp sont aussi de grands mélomanes pour qui la nostalgie est loin d'être un frein à l'innovation.

Après un premier album très authentique, en quête d'un style, leurs horizons s'ouvrent à présent à un répertoire et des arrangements plus originaux, avec notamment quelques pièces classiques... Et surtout des morceaux inconnus ou oubliés de Django Reinhardt, aux sonorités surprenantes et aux orchestrations audacieuses.

Les membres :

Au chant, à la guitare rythmique, à la trompette et aux claquettes, nous retrouvons la très inspirée, Audrey Leclair.
À la clarinette, l’un des fondateurs du groupe monsieur David Tavani.
Aux guitares solistes et rythmiques les très complices, Arthur Anelli et Rémi Peleyras.
Et pour asseoir le tout, Fernando Morrison à la contrebasse.





"Gramophone Stomp", groupe de Swing Manouche Montpelliérain



réinterprète la valse "Indifférence".
Paroles d'André Minvielle sur une composition de Tony Murena.